FIEFS et CHATEAUX

Ce site s'intéresse aux anciens sites féodaux du Donziais, qu'ils aient conservé leurs constructions d'origine (La Motte-Josserand à Perroy), que les anciennes maisons fortes aient été remplacées au cours des siècles par des châteaux plus récents (Les Granges à Suilly), ou même que tout bâtiment ancien ait disparu (Pesselières à Sougères).

Des articles leurs sont consacrés, auxquels vous pouvez accéder par l'outil de recherche, par leur nom ou grâce à un certain nombre de mots-clefs. Une notice détaillant la succession des seigneurs y est en général attachée, à laquelle vous pouvez accéder en cliquant sur un lien.

Pour clarifier l'ordonnancement du site, nous donnons dans les pages associées, la liste des fiefs par châtellenie et par paroisse, ainsi que les noms de leurs principaux détenteurs.

Bonne découverte….

_______

 

 

Share

2 réflexions sur « FIEFS et CHATEAUX »

  1. Au sujet de Sauzay, il y a une erreur entre deux générations Le Muet.
    Le contrôleur-général des Finances du duc de Bourgogne, Guillaume Le Muet, office en tant que tel en 1446 (en fin de carrière, puisqu’il est à la tête de toute l’organisation de contrôle des caisses financières). Il commence sa carrière comme receveur à Troyes (1418), contrôleur de la Chambre aux deniers (1421), contrôleur des dépenses du Roi (1426) (au temps où le duc de Bourgogne s’est autorisé à contrôler la famille royale, par le biais de ses propres agents (1426), maître de la Chambre aux deniers (1421). Il est plus probable qu’il soit celui que vous indiquez comme époux d’Isabeau Jauxette (je n’ai jamais trouvé cette mention), et non son homonyme que vous positionnez en petit-fils.
    A Troyes, la famille Le Muet n’arrive qu’en 1418 (je compte publier les registres fiscaux de la ville par décennie, ils sont nominatifs). Guillaume transmettra sa fonction de receveur de Troyes à Jehan Le Muet, tandis qu’un Huguenin Le Muet sera un richissime marchand de Troyes (pratiquement le plus riche de la ville quand elle sera momentanément capitale du royaume de France), marié avec la fille d’un chevalier cousine-germaine d’un des plus grands acteurs et théoriciens de la « double monarchie ». Quoi de plus normal quand on sait que le duc de Nevers avait e grands biens au Sud et à l’Ouest de Troyes, lui venant des ducs de Bourgogne.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *